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1.
Annales medico-psychologiques ; 2021.
Article in English | EuropePMC | ID: covidwho-1564634

ABSTRACT

The current study examined the serial relationship between perceived vulnerability to disease, fear of COVID-19, anxiety, and psychological distress among school teachers. Participants were South African school teachers (n = 355) who completed the Perceived Vulnerability to Disease Questionnaire, Fear of COVID-19 Scale, trait scale of the State-Trait Anxiety Inventory, Beck Hopelessness Scale, and the Centre for Epidemiological Depression Scale. A path analysis confirmed that teachers who appraised themselves as more susceptible to disease, experienced heightened levels of fear of COVID-19, which led to heightened levels of anxiety, depression, and hopelessness. Specifically, germ aversion and perceived infectability were separately associated with heightened fear of COVID-19, which in turn was associated with heightened anxiety. This serial relationship was associated with heightened levels of hopelessness and depression. The current study extends research on the impact of the COVID-19 pandemic among a distinct subgroup of the population.

2.
Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique ; 2021.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-1188260

ABSTRACT

Eighty-five percent of the world's new Tuberculosis cases are found in thirty high burdened countries, one of which is South Africa. South Africa is one of the eight countries that are said to account for the two thirds of the total new Tuberculosis cases. The Tuberculosis epidemic is driven by the following reasons: firstly, poor living conditions which are a result of the wide gap between the rich and the poverty stricken among some populations;and, secondly, late presentation to health facilities. Over the years, healthcare programs have made a meaningful impact in identifying patients presenting to Tuberculosis care. A global Tuberculosis report shows an estimated sixty million lives were saved through Tuberculosis treatment and diagnosis between the years 2000 and 2019. This progress has encouraged the United Nations to set the health target of eradicating the Tuberculosis epidemic by 2030. For this goal to be attained, strategies to modify risk behaviour need to remain a main priority. In the South African context, it would be important to note the diversity of the individuals experience which is rooted in South African socio-political history and has resulted in high levels of social inequality and disparate socio-economic status groups, as a significant factor when considering the well-being of Tuberculosis infected South Africans. The aim of this research was to understand health related well-being in South Africa, by noting and comparing the diversity of life satisfaction experience between participants from different sociodemographic status groups across South Africa. In this interview statistician Motladi Matatiele and Demographer Nancy Stiegler from the University of Western Cape discuss the possible factors of subjective well-being in the Tuberculosis infected South African population and provide an understanding of the behavioural aspects tied to Tuberculosis infection. Résumé Quatre-vingt-cinq pour cent des nouveaux cas de tuberculose dans le monde se trouvent dans trente pays, dont l’un d’eux est l’Afrique du Sud. L’Afrique du Sud est un des huit pays qui, à eux seuls, regroupent les deux-tiers des nouveaux cas de tuberculose. L’épidémie de tuberculose, due à de piètres conditions de vie, tant sanitaires que sociales, est le résultat d’un fossé entre les riches et les pauvres et d’une prise en charge médicale parfois trop tardive de ces derniers. Toutefois, année après année, les programmes sanitaires ont eu un impact positif sur l’identification des patients souffrant de tuberculose. Un rapport global sur la maladie montre que quelques soixante millions de vies ont été sauvées grâce aux diagnostics et traitements entre les années 2000 et 2019. Un tel progrès a encouragé les Nations Unies à établir comme objectif médical l’éradication de l’épidémie de tuberculose à l’horizon de 2030. Afin d’atteindre ce but, les stratégies de modifications des comportements à risques doivent rester la première priorité. Dans le contexte sud-africain, il est primordial de prendre en compte la diversité des expériences individuelles qui est ancrée dans l’histoire sociopolitique du pays (l’Apartheid) et dont ont résulté de hauts niveaux d’inégalités socioéconomiques parmi les différents groupes de populations. Cette histoire est un facteur des plus signifiants lorsqu’on s’intéresse à la qualité de vie des Sud-Africains atteints de tuberculose. Dans cet entretien, la statisticienne Motladi Matatiele et la démographe Nancy Stiegler de l’University of the Western Cape font part de leur recherche, dont l’objectif était de comprendre la diversité des facteurs associés au bien-être des personnes souffrant de tuberculose en Afrique du Sud, considérant des patients appartenant à divers groupes et statuts socioéconomiques. La discussion prend en compte les variables les plus influentes sur la qualité de vie, en utilisant les données de l’enquête « National Income Dynamic Study » de 2017. L’accent a été mis sur la sous-population souffrant de tuberculose disséminée dans les neuf provinces du pays. L’échantillon consiste en quarante-quatre individus dont on a considéré les variables suivantes : l’âge, le sexe, le groupe ethnique, le lieu de résidence en 1994 (date de fin officielle du régime ségrégationniste), l’activité, l’éducation, la santé, la santé mentale, le bien-être et la cohésion sociale. L’étude a employé l’Analyse des correspondances multiples pour identifier les variables associées au bien-être des individus souffrant de tuberculose. Les résultats montrent que les répondants de descendance africaine rapportaient les plus bas niveaux de bien-être, suivis des participants métis, qui avaient, d’autre part, plus de chances de fumer, ce qui décroissait d’autant leur niveau ressenti de bien-être. Le sexe s’est révélé être un facteur signifiant dans la mesure où les femmes ont déclaré un niveau subjectif de bien-être systématiquement plus bas que celui déclaré par leurs homologues masculins. Les participants souffrant de co-infections de tuberculose et du VIH, aussi les plus touchés par la grande pauvreté, présentaient le niveau le plus bas possible de bien-être ressenti. Ces derniers étaient les plus déprimés à cause des stigmates perçus, de la peur induite par leurs systèmes immunitaires affaiblis et de la prise aléatoire de leurs prescriptions pharmaceutiques. L’Organisation mondiale de la santé, dans ses bulletins mensuels, a noté que l’accès aux traitements préventifs et curatifs de la tuberculose en Afrique du Sud s’est effondré de plus de cinquante pour cent entre mars et juin 2020. Il est regrettable que l’Afrique du Sud n’ait pas tenu les objectifs « 90-90-90 » fixés par son plan global d’éradication de la tuberculose en 2016. Dans le même temps, l’Organisation mondiale de la santé estime une augmentation de vingt p ur cent des cas ces dernières années. Les résultats de l’étude permettent de déduire qu’une augmentation des cas de tuberculose est corrélée avec une augmentation de la pauvreté, des co-infections, d’une éducation à la santé médiocre et d’une accentuation du sentiment de rejet. Il est alors possible de penser qu’entre 2017 et 2020, le degré de satisfaction et de bien-être des populations souffrant de tuberculose a décru, décroissance à laquelle l’épidémie de COVID-19 a pu largement contribuer. Les institutions en charge des questions de santé publique doivent contrôler les tendances des épidémies avec la plus grande attention, dans la mesure où une réponse rapide est nécessaire pour corriger les effets néfastes de la COVID-19 sur l’éradication de la tuberculose en Afrique du Sud. Enfin, durant cette période de crise sanitaire exceptionnelle, le département (ministère) de la Santé sud-africain doit sans tarder soutenir les services de santé communautaires en charge des tests de tuberculose et de VIH, afin qu’ils deviennent plus performants dans les diagnostics, et soient partie prenante dans les nouvelles stratégies d’amélioration de la prise en charge et du contrôle des épidémies de tuberculose, de VIH et de COVID-19.

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